L’IEF bientôt interdite en France, comme en Allemagne
La proposition de loi s’appuie sur des enquêtes :
L’enquête a été faite en 2013 à la demande de l’Observatoire de la famille française en coopération avec l’EN. Les inspecteurs ont répondu à une enquête de classement des rapports de contrôle de 2012, mais ils ont souligné la difficulté de faire ces classements du fait du recouvrement des attitudes dans la partie droite du tableau . Il a été convenu d’appliquer cette grille d’analyse qui permettait de mieux différencier le comportement des parents par rapport à la notion d’enseignement, ce qui est un choix idéologique qui n’est certes pas neutre, mais qui s’est avéré plus adapté pour faire une catégorisation. Des étudiants en Sciences de l’Education ont contribué à l’analyse des résultats (résultats communiqués par un syndicat d’enseignants).
Le pot de terre tente de résister au pot de fer, tandis que les nouilles geignent !
Pétition contre le projet de loi
Pétition citoyenne : « Nous voulons obtenir l’abandon pur et simple de la proposition de loi visant à limiter la possibilité d’instruction obligatoire donnée par la famille à domicile aux seuls cas d’incapacité, enregistré à la Présidence du Sénat le 18 décembre et présentée par MM. Hugues PORTELLI, Christian CAMBON, Jacques GAUTIER, Mmes Esther SITTLER, Hélène MASSON-MARET, M. Michel HOUEL, Mme Colette MÉLOT et M. Louis PINTON. L’instruction en famille en France est légale et est un choix libre qui appartient aux parents. C’est une liberté constitutionnelle qui est inscrite dans la convention européenne des droits de l’homme et dans la convention des droits de l’enfant. Cette proposition de loi ( http://www.senat.fr/leg/ppl13-245.html ) vise encore à réduire les libertés individuelles de chacun et est encore une fois une attaque faite aux familles dans leurs choix de vie, nous devons nous y opposer fermement afin de continuer à pouvoir choisir le meilleur pour nos enfants. »
Cette pétition est du type « touche pas à mon droit » et ça ne fera pas plus de bruit qu’un pétard mouillé! Il fallait passer un cran au dessus, demander carrément la suppression de la Miviludes et proposer une cure de désintoxication à tous ceux qui l’avaient fréquentée.
Certes la liberté de l’enseignement est un bel idéal, mais l’instruction en famille incarne-t-elle cet idéal ? Pour certains parents en IEF oui, pour d’autres, je pencherais plutôt pour « un refus caractérisé » de l’instruction. Evidemment si vous écoutez tous ces adeptes du unschooling, ils vont vous réciter leur chapelet et leurs alibis, car ils n’en manquent pas! La nature ayant horreur du vide, il paraît, selon ces opposants à tout savoir transmis, que le « vide » en terme d’enseignement appelle la connaissance (comme le vide capte les gaz), et c’est justement parce qu’on ne remplit pas le cerveau de l’enfant qu’il capte ce qui se trouve à sa portée… en outre, les unschoolingues ont une théorie selon laquelle le jeu est le moyen d’apprendre tout et naturellement, c’est à dire avec plaisir. L’enfant étant prédisposé au jeu, il peut tout apprendre par lui même si on le laisse jouer. Des théories à la con comme celle-ci ont leur place à LED’A. Vous allez me dire que ces élucubrations ne sont pas pires que la théorie pédagogiste selon laquelle l’enfant est apte à construire lui-même son savoir, une théorie qui fait des ravages dans les écoles. Entre deux sectes, quelle est la pire ??? Dans les deux cas, c’est le vide intellectuel.
Signez donc la pétition pour soutenir le droit des familles à faire jouer les enfants!
J’en profite pour glisser la pétition de Dieudo contre la LICRA, un groupuscule de censeurs qui, avec la Miviludes, porte atteinte aux libertés fondamentales et sert la dictature républicaine :
à lire aussi :
Face à l’agression qui se prépare, les associations IEF « avisent dans le calme » ,
mais les apparences sont peut-être trompeuses!!!
J’avais mis en cause la mollesse, la veulerie des associations de parents IEF et de leur base. Je les avais qualifiés de « rat-pens », ces êtres qui rampent et qui vont régulièrement en délégation supplier les inspecteurs « généreux » de les laisser poursuivre leur petite activité familiale tranquille. Et bien demain les parents en IEF vont devoir inscrire leurs enfants à l’école car la loi est en préparation au sénat. Cependant LED’A nous dit que rien n’est fait, qu’il faut suivre et ne pas s’affoler. L’handicap de l’IEF, c’est la confusion entre d’une part le home-schooling, la véritable instruction en famille et d’autre part cette bande d’imposteurs qui se sert de l’IEF comme couverture pour faire du unschooling : les rats sont entrés dans le fromage et aujourd’hui, le fromage est consommé. Les associations IEF se sont compromises et nous allons tous le payer. Si je dois reconnaître que certains parents, isolés, ont combattu, malheureusement ils ne l’ont pas toujours fait avec de bons arguments; je pense notamment à la famille Martin Rodriguez, qui est certes courageuse mais qui se discrédite par des vidéos infantiles et par une idéologie : » l’apprentissage informel ». D’autres que j’ai cités au début de cet article réagissent aujourd’hui, mais sans une mobilisation générale et avec des arguments crédibles, leur action restera vaine.
LED’A publie un commentaire (voir plus loin) qui en dit long sur l’indigence de ses moyens de riposte face à l’agression. Le double langage qu’elle pratique en permanence pour concilier les pratiques très hétéroclites de ses adhérents, pour ne pas dire contradictoires, l’empêche d’enfourcher le destrier et de crier « sus à l’ennemi »… Alors elle « surveille et réfléchit à l’action » qu’elle pourrait mener et encore une fois, elle enfume, elle endort les familles avec un discours lénifiant. Faute de conviction, elle compte sur « l’énergie » des familles! Bref, l’IEF est un paquet de nouilles que l’Etat républicain veut écraser de sa botte une fois pour toute et hop, direction la caserne ! Finis les délires de certains unschoolers, finis aussi les espoirs des familles qui résistent à la crétinisation programmée par l’EN. L’avenir est sombre, nous le savions mais seuls les imbéciles pensaient que ça pouvait encore durer.
Certes l’attaque de la gauche contre la famille a engendré un vaste mouvement de la part des parents qui scolarisent et qui découvrent, effarés et en colère, les objectifs d’endoctrinement poursuivis par l’école dite de la république, ce qui va créer un front de résistance important contre la politique anti-familiale du gouvernement. Mais rien ne permet de penser que l’IEF pourra s’intégrer dans ce front politique et bénéficier du climat de contre offensive, étant donné qu’elle ne pratique que l’apolitisme et l’angélisme . On peut au contraire prévoir que si la gauche échoue sur l’essentiel de ses attaques, l’interdiction de l’IEF restera l’os sur lequel la gauche et la droite (dites républicaines) s’entendront, car le projet contre l’IEF vient directement de la Miviludes (voir plus loin dans l’article).
Communiqué de l’association Cise (Choisir d’instruire son enfant)
concernant la proposition de loi n°245 (2013-2014)
Un communiqué de presse qui rappelle les droits fondamentaux des familles en matière de choix d’instruction; voir sur son portail http://www.cise.fr/
« Alors que les accusations se multiplient contre les parents qui, paraît-il, démissionneraient de leur rôle éducatif, voilà que ceux qui choisissent de l’assumer pleinement, et donc de les instruire, sont accusés, dans le préambule de ce projet, de faire ce choix dans le but volontaire de les désocialiser. L’institution scolaire, nous dit-on, détiendrait le privilège d’une socialisation efficace ! Le rôle d’un Etat démocratique n’est PAS d’éduquer nos enfants contre notre gré, privilège des régimes totalitaires. Le rôle d’un Etat démocratique est de protéger nos libertés individuelles. Troublons-nous l’ordre public pour être contraints de la sorte ? Ce projet de loi viole tout simplement le principe constitutionnel de liberté d’enseignement, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, article 23-6 qui spécifie : « Les parents ont par priorité le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. », ainsi que le Protocole additionnel à la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales de 1952 . La République française n’est-elle pas fondée sur les droits de l’Homme ? Nous demandons fermement le retrait de ce projet de loi qui porte atteinte à l’une de nos liberté(s) fondamentale(s) : éduquer nous-mêmes nos enfants si tel est notre choix. »
Note : je retiens que le fais « d’assumer pleinement » leur rôle éducatif implique « d’instruire » les enfants, ce qui pourrait me convenir, si le terme « instruire » n’avait pas perdu aujourd’hui tout son sens. « Donc »… cela ne veut pas dire grand chose!
Communiqué de LED’A qui vient de mettre au point un nouveau mode d’action:
le « cliquez ici »
« Il est bon de savoir que de nombreuses propositions de loi sont faites et peu aboutissent. Aussi LED’A fait le choix de prendre le temps de poser ses arguments et agira auprès du Sénat si cette proposition évolue et passe le stade de la 1ère lecture. Pour plus d’information sur les propositions de loi ( cliquez ici) . Nous surveillons son évolution et vous tiendrons informé des avancées et des éventuelles actions entreprises. Vous pouvez également suivre l’évolution en cliquant ici. Nous avons constaté que le monde de l’I.E.F. s’est très fortement mobilisé. Nous pensons que l’énergie déployée peut servir à communiquer de façon positive autour de l’instruction en famille et soutenons toute action en ce sens. C’est pourquoi nous vous invitons à soutenir le film de Clara Bellar « Etre et devenir » et à transmettre son besoin de soutien. » Publié dans « Actions ».
Je rappelle pour mémoire un texte publié conjointement par LED’A et LAIA en 2006….
Face à l’attaque constante de la Miviludes, LED’A nous propose aujourd’hui de soutenir un film publicitaire en faveur de l’IEF, une vitrine du mouvement « unschooling » porté par LED’A (A-t-on jamais vu LED’A soutenir le « homeschooling »?) . Réaction pour le moins curieuse et dérisoire. C’est la descente aux enfers ! Plus l’Etat pousse en avant son offensive contre l’IEF, plus les associations se réfugient dans un univers virtuel : aujourd’hui, c’est le cinéma !!! Qu’est ce qu’il faut comprendre par « besoin de soutien » ? Est-ce un appel au financement du film ? Quand je lis « énergie » et « communiquer de façon positive », je sais que j’ai affaire à des spiritualites du New Age et Consort (http://mangouste.org/Articles/Article1/). Ces gens là transforment le monde par le rayonnement de leur énergie positive ! Là, ça sent la secte à plein nez… si on n’a pas le nez bouché!
Réaction d’une affiliée de l’association UNIE
« Je suis très surprise par vos propos car d’une part vous me sembliez suffisamment intelligent pour faire la différence entre projet de loi et proposition de loi, force est de constater que vous aussi vous faites un amalgame malheureux entre les deux, donc je me permets de vous rappeler à toutes fins utiles que, pour le moment, on est encore à la proposition de loi et que demain un rapporteur sera nommé afin d’étudier la validité de cette proposition.
D’autre part vous précisez qu’aucune association ne réagit face à cette situation somme toute inquiétante, cependant dés le début de votre article vous mettez le lien de la pétition de l’association qui a réagit seule pour l’instant et qui tente de mettre des actions en place, c’est à dire l’association UNIE (Union Nationale pour l’instruction et L’épanouissement) dont vous semblez ignorer l’existence … Je vous laisse le lien de leur site afin que vous puissiez découvrir cette association
Mon blog n’est pas fermé à la contradiction, bien au contraire. Si d’autres parents en IEF ou associations souhaitaient faire des objections à mes « propos », je suis prêt à les publier sur ce blog. Je ne connais pas vraiment l’association « UNIE », car depuis plus d’un an j’ai cessé de m’intéresser à l’IEF et à toutes les associations qui se multiplient pour faire la même chose que l’association « historique » LED’A . En effet tout le paysage associatif de l’IEF entretient la confusion entre instruire et éduquer, et beaucoup, mis à part CICE, déclarent reconnaître et pratiquer les pédagogies « informelles » (la NONSCO) et alternatives et vont jusqu’à valoriser le unschooling. LED’A est contestée pour son inertie, ses négociations fumeuses avec l’EN, et des associations naissent qui tiennent souvent plus de la volonté militante de leurs fondatrices, que de l’originalité de leurs positionnement dans le champ de l’IEF. Ce sont souvent des vitrines du unschooling ou du maternage prolongé, bien qu’elles affichent une diversité de composantes qui devraient harmonieusement s’unir contre l’EN – de leur point de vue du moins. L’IEF est toujours présentée comme une palette de choix possibles, mais en réalité, le militantisme et le prosélytisme sont surtout du côté des Nonsco-unschoolingues, tandis que les parents qui pratiquent home-schooling sont discrets, voire muets! Ce qui n’est pas sans poser question! Il est probable qu’ils ne sont pas affiliés à LED’A, ce qui expliquerait que cette association représente plutôt les Nonscos et les alternatifs, bref la partie hostile à l’enseignement scolaire et aux contrôles dans le monde de l’IEF.
Pour revenir à ce message, ce qui m’intéresse c’est l’argument soulevé: la différence entre un projet de loi et une proposition de Loi. Certes une proposition de loi émane des élus et suit un itinéraire échelonné, mais elle est soutenue et préparée par des groupes politiques et dans le cas qui nous concerne, elle émane de la Miviludes et c’est l’UMP qui la pousse en avant. C’est donc tout à fait inquiétant. Il faut aussi avoir en tête que le processus de suppression de l’IEF est en marche depuis 1998 et faire l’autruche n’est pas la solution. Le loup-garou sort du bois et comme on dit dans le haut Jura , « ce n’est pas quand on sent l’haleine puante de la bêêête qu’il faut charger le fusil! » Alors attendre que les étapes de la validation de la proposition soient franchies, c’est un argument faible qui ne sert qu’à masquer l’impuissance des associations.
L’association UNIE a cependant réagi à la proposition de loi: c’est bien elle qui est à l’origine de la pétition diffusée par AVAAZ . Son texte est sobre et sans doute trop sobre pour être efficace: seuls ceux qui sont au fait du problème vont le signer. C’est toujours le même argument : le droit! Mais ce n’est pas avec le droit qu’on arrête la charge du mammouth et celle de l’Etat. Il faut passer à un type de défense plus radical, mais pour cela il faut être dans la légalité, c’est à dire enseigner aux enfants ou assurer un enseignement par les livres.
Comme vous le constatez, l’IEF est un « réservoir d’énergie » qui ne demande qu’à s’exprimer. Cet article ne s’adresse pas spécifiquement aux parents en IEF, dont beaucoup trop – mais allez savoir combien? – ne sont pas réellement en accord avec la définition de « l’instruction » en famille, car pour eux, instruction = domination des esprits. Tout le monde n’est pas parfait, peu s’en faut. A titre d’exemple, je cite la suce nommée Palaghitza, importée sans doute du Pakistan, qui répond à d’autres mères au sujet du unschoolingue tel qu’on le pratique dans les banlieues:
– (Doudoubabachita) Je mets bien à part les parents qui pratiquent l’unschooling et ceux qui font l’IEF dans le cadre de la législation. En fait vous vous cachez derrière de faux prétextes , ce qui compte c’ est que dans l’éducation de vos enfants aucun adulte n’interfère; c’est pour cela que vous considérez que votre présence est nécessaire à tous moments , on ne sait jamais ce que l ‘autre pourrait amener comme idées nouvelles à vos enfants .
– (Andya) « Je ne sais ni ce que tu mets derrière le mot « unschooling » ni de qui tu parles en disant « vous ». En tout cas, beaucoup d’adultes (et d’enfants) permettent à mon fils (instruit en famille) d’apprendre des choses et c’est très bien ainsi. »
– (Palaghitza) « Je pense que la discussion tournait autour des propos d’un certain « psruben » qui avait présenté sur son blog le « unschooling » comme très négatif ; je n’ai pas suivi ; mais c’est un frustré qui se défoule sur le net, j’ai lu qqs phrases sur son blog »;
Elle n’a pas suivi !! Ce n’est pas étonnant… Ces petits échanges me régalent, je les savoure avec une joie exquise… et après cela on dira que je ne connais pas l’unschoolingue ! Ce qui me rassure, c’est qu’il y a des parents qui sont en accord avec moi au sein de l’IEF. Je les soutiens. Entendons nous bien: je défends le principe du « droit à l’instruction en famille », en rappelant que ce droit implique l’obligation « d’instruire », « d’enseigner » mais j’admets que la notion d’instruction ne peut pas être réglementée par l’Etat. Je dirais même qu’en aucun cas l’Etat ne doit définir seul l’instruction, sous peine d’en faire un endoctrinement politique. Instruction et standardisation ne vont pas ensemble, car l’instruction doit être modulée en fonction de certains choix. On ne peut pas tout digérer et tout individu face à la Culture doit avoir une certaine liberté de choix, sinon on tombe dans le « reader digest ». Je pense qu’il faut du pluralisme dans cette notion, ce qui va à l’encontre de cette merde qu’on appelle « Le socle commun des connaissances et des compétences… »
Article L131-2 du code de l’éducation .
« L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix. »
Ca, c’est bientôt périmé !!! Etape par étape, le droit des parents de choisir le mode d’instruction qui leur convient est attaqué depuis 1998 et aujourd’hui, il est nié. Une atteinte radicale à la liberté de l’enseignement et un pas en avant définitif pour étendre à tous les enfants sur le territoire national, l’obligation de les remettre à la puissance publique, qui tel Moloch, les engloutit et les digère. La mécanique infernale du « stalinisme républicain » à la française est insatiable, rien ne doit lui échapper ! L’heure est aux enterrements, car la famille est de façon systématique, la cible de l’offensive législative qui vise à faire un nouveau « genre » d’humanité: d’un côté la parentalité est déchue par les droits d’adoption offerts aux homosexuels et par le mariage pour tous, de l’autre l’Etat arrache les enfants aux familles qui sont en désaccord avec le formatage scolaire et au dessus de tout cela, au nom de la lutte contre la discrimination, la notion de « genre à la carte » vient remplacer celle d’identité sexuelle. L’histoire de France connaît un tournant idéologique sans précédent, dont les conséquences seront désastreuses pour la famille (qu’est ce qu’il en restera,) . Ceci remet en question le pacte de confiance entre la nation et l’Etat qui s’approprie nos enfants et nous éjecte, nous relègue au rang de géniteurs, pour pratiquer des manipulations mentales sur nos enfants. La confiance des citoyens dans l’école de la république est terminée. peut-on réhabiliter la responsabilité parentale que l’EN et l’Etat ont affaiblie. Confier ses enfants à un appareil sectaire est inacceptable. Il ne reste qu’une solution : ne plus en faire!
Un climat général d’attaque contre la famille organisé par la gauche!
Après avoir mis la main sur l’éducation nationale pour détruire le système éducatif français et supprimer la transmission du savoir, après avoir laissé des générations d’enfants incultes, le PS et ses alliés s’attaquent à la famille et à la jeunesse avec un projet de transformation de la société que ces pédaphiles prétendent progressiste. Après le pédagogisme, la secte LGBT met la main sur nos enfants pour leur imposer des cours d’éducation à « l’identité du Genre », conçue par et pour les gays et les transsexuels – et croyez moi, c’est du bourrage de crâne avec du matériel qui relève du porno. Jusqu’à peu, cette infiltration dans l’école de courants « libérateurs » ne nous concernait pas, puisque au nom de la liberté de conscience et de la liberté de choix du mode d’éducation (art L132.1 du code de l’éducation), les enfants en IEF échappaient à cette pollution mentale et morale. Derrière ce mouvement se profile une légalisation de la pédophilie. Donc en France, la liberté est un mot qui se réduit à cette seule acception : baise qui tu veux et comme tu veux, à l’endroit ou à l’envers, pour le reste c’est « ferme ta gueule » vote docilement et paye tes impôts!
Mais si la famille est une institution que la gauche exècre, le PS bénéficie de l’appui d’une droite soit disant populiste qui veut tenir en main la population en prenant le contrôle de l’enfance. A droite comme à gauche, le mot d’ordre est « avec l’école, on a les enfants sous la main: on va les rééduquer pour en faire des moutons ». Il y a une chanson qui fait fureur au PS
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« Ah ça ira, ça ira, ça ira,
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les enfants du peupl’ dans les casernes;
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Ah ça ira, ça ira, ça ira,
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le prolétariat, on le matera! (variante : on l’format’ra)
La république libérale montre son vrai visage : celui d’une dictature. L’heure de la résistance sonne sur tous les fronts. Le climat est à l’insurrection, trop c’est trop! Oui mais direz vous, à l’UMP, il a quand même des députés qui s’opposent à cette politique de destruction du modèle familial et qui valorisent la famille, par exemple M. MARITON qui prend nettement position contre la loi TOBIRA et tout le projet ourdi par la gauche.
Est- ce que pour autant on trouve des députés ou des sénateurs UMP qui soutiennent l’IEF en tant que « droit de la famille » et qui dénoncent l’acharnement de la MIVILUDES contre l’IEF? Je n’en suis pas convaincu, parce que l’IEF n’est pas reconnue par l’UMP comme un droit de la famille et c’est là qu’il faut « chercher l’erreur »: il y a un double langage de la droite libérale. L’idéologie républicaine affirme que les enfants sont propriété nationale et que l’EN en a la gestion de plein droit, le monopole, n’ayons pas peur des mots, car elle seule est qualifiée pour « socialiser » selon des procédés qui sont ceux des les sectes, mais quand l’Etat assure une emprise sur la personne de l’enfant, la notion de secte n’est pas évocable!!
Jusqu’à présent les méthodes sectaires de l’EN n’étaient pas dénoncées, sauf par des prof (Sauvez les lettres, etc) et la droite était totalement complice. L’introduction de la notion de genre dans l’école a enfin mis en évidence le projet politique de la gauche, ses méthodes répugnantes et une partie de l’UMP se désolidarise.
Qu’est-ce que la dérive sectaire, selon la Miviludes ?
« Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte à l’ordre public, aux lois ou aux règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société. »
Il n’y a pas de doute, l’EN est bien une secte qui met en danger l’intégrité des personnes et l’ordre public, car elle participe activement à la destruction de la famille (je renvoie à la vidéo de Farida Behlgoul dans la suite de mon article) . Face à cette attaque sur la parentalité, les mouvements de défense de la famille bougent et descendent dans la rue : les mères veilleuses, le printemps français, etc. C’est donc le moment de dénoncer le scandale de l’école, mais l’IEF est aux abonnés absents!
Au fait, Monsieur le ministre de l’EN, la théorie du genre, ça ne serait pas ce qu’on appelle l’obscurantisme à la puissance (n) ???!!!! Je lance donc un mot d’ordre :
MERDE à la théorie du genre
et MERDE à l’obscurantisme
MERDE à L’ECOLE OBLIGATOIRE !
L’IEF de base, contrairement à son habitude, conteste sur le net, émettant quelques « messages de mécontentement » . J’ai bien recensé ça et là quelques articles fermes qui traduisent un ras le bol (j’en ai compté cinq environ… ce que LED’A appelle un « déploiement d’énergie »), mais rien sur le site de PIF (parents Instructeurs de France), par exemple. Rien de la part des associations qui ont du poids, sinon une déclaration de vigilance et des encouragements très chaleureux adressés à ceux qui donnent de la voix. L’IEF est par nature opposée à la violence et les manifs, ce n’est pas sa tasse de thé. Mais attention, les apparences sont trompeuses : en réalité c’est une stratégie de diversion: Elle est en train de faire ses bagages: des cars de ramassage sont organisés et LED’A a déjà demandé l’asile politique aux indiens d’Amazonie, car la forêt d’Amazonie (ce qu’il en reste) est un lieu encore propice au unschoolingue: ils ont déjà acheté les hamacs… C’est l’exode ! On sait que ceux qui choisissent l’exode ont l’histoire pour eux. Si ça ne marche pas, l’IEF demandera l’Asile à la Mongolie, étant donné que pas mal de parents disposent déjà de la yourte (avec toilette incorporée). Ils ont aussi les chèvres et savent tresser la laine. Ce n’est pas là bas qu’on ira les emmerder avec « l’école « .
Confidentiellement, le rassemblement est prévu sur le Vel’d’hiv. Ce stade, comme vous le savez, est le lieu symbolique de rassemblement des minorités opprimées. Voici une photo des familles IEF en route pour le stade, très contentes de quitter cette ambiance empoisonnée qui règne en France sous la botte de la Miviludes et de la gauche, aussi perverses l’une que l’autre. Espérons que ce départ en catimini ne tombera pas dans l’oreille de PEILLON le prêcheur de la laïcité et de VALLS (celui qui veut réprimer les parents qui font grève quand le Genre pénètre dans l’école), car ces parents insoumis à l’école pourraient bien se retrouver à « Fleury Merogis » où les fleurs ne poussent pas si bien que cela, pour tentative de détournement vers l’étranger d’une partie de la propriété nationale, car « ils » l’ont clairement dit: « l’enfant n’appartient pas aux parents » ! C’est vrai que VALLS n’a pas bon Genre, avec son « début de calvitie », toujours en train d’éructer, de menacer de représailles ceux qui se livrent à des gestes anti-système ! Il fait peur aux enfants qui regardent la télé. On sent une violence à peine retenue qui contraste avec la sérénité de Peillon. Peillon a appris à se retenir sur les colonnes du temple maçonnique, « debout et à l’ordre ». Un bel exemple de civilité mais gâché par des idées extrémistes : il veut mettre les sexes à égalité en les supprimant, ce qui est quand même une solution radicale et tout à fait inquiétante. Ca rappelle certaines expériences faites dans certains camps. Nous sommes hostiles à toute expérimentation sur l’homme et sur la femme et à fortiori sur les enfants!!! Ne touchez pas aux enfants. Ce climat politique est donc devenu vraiment malsain pour les enfants, je l’admets (pour une fois que je suis d’accord avec LED’A) et les mettre à l’abri loin des manipulations des pédagogistes est une bonne initiative. Je suis donc touché par l’effet des ondes positives qui émanent de LED’A.
Voici donc nos enfants en route vers la liberté et vous aurez constaté que s’ils sont les premiers à entrer dans les cars, c’est parce qu’on fait entrer les enfants « d’abord ». Oups!
Il faut quand même dire que l’IEF manquait sérieusement de crédibilité et de réactivité ! Là cette fois-ci les parents IEF ont compris et ils se barrent comme au temps de l’occupation – c’en est une, mais l’occupant (Etat) n’occupe que le cerveau des enfants, celui des adultes, il le méprise!
L’offensive des républicains pour supprimer l’IEF ne doit pas nous surprendre. De toute façon, avec l’immigration galopante consécutive au marché mondial et dans la période de crise économique et sociale qui l’accompagne, l’école est apparue comme LA solution pour effectuer le « brassage ethnique » et éviter la guerre civile qui ne va pas tarder. C’est d’ailleurs pour cela qu’on pratique en classe des séances de libération sexuelle, afin de préparer activement le grand brassage … On commence à la maternelle et on le fignole au collège pour construire la grande Babylone libérale qui cassera les acquis sociaux la mentalité des vieux états européens.
C’était donc écrit. L’école du vivre ensemble, c’est l’appareil de formatage du citoyen des temps modernes qui répond à la fois aux aspirations égalitaristes des socialo-fachos et à celle, de la droite obsédée par la contestation sociale et politique (le terrorisme, vous en avez entendu parler). Depuis les années 70, depuis que la gauche jospiniste (un trotsko reconverti au socialisme) a mis la main sur l’école de la république, elle en a fait un instrument qui fonctionne hors du regard des familles, qui nivelle par le bas, qui rend docile et qui prépare des générations de futurs citoyens à voter et intégrer les normes du système d’élection: toute la scolarité est tournée vers la communication en groupe, le vote, l’élaboration collectives de règles: une vaste entreprise de bourrage de crâne. Aujourd’hui pour que la paix sociale soit assurée, il faut que tous les petits français se mélangent et passent par la machine à laver les cerveaux.
Mais pour éviter toute discrimination, tout clivage entre des groupes, on va jusqu’au bout, on coupe les zigounettes des petits garçons, on les émascule (ça c’est pour faire plaisir aux lesbiennes qui ne supportent pas de ne pas en avoir une belle et qui sont obligées de se faire greffer des braquemars en silicone) . Les enfants sont travaillés en profondeur: il faut que tout se mélange dans leur tête! Leur vie de citoyen commence donc précocement sous l’œil vigilent de Big Brother (avec des profs, des psy, des services sociaux, la gendarmerie, le proc, le juge, etc). Familles, l’Etat s’occupe des enfants et suivez la ligne blanche.
Ces parents IEF – des « dissidents », des « asociaux », des « marginaux », des « malsains » dont les enfants échappent au contrôle de l’état et à ses expérimentations – sont donc une menace pour la sécurité publique et l’ordre nouveau (le Nouvel Ordre Mondial). Mais soyons clairs, ce n’est pas à proprement parler du totalitarisme, c’est juste l’aboutissement de la démocratie en marche… vue par les bobos de la gauche.
La socialisation scolaire est obligatoire
….et « ferme la » !
Le sénateur qui porte le flambeau de ce projet de loi hautement républicain et « libérateur » (essentiel pour le gouvernement actuel) est un certain Hugues Portelli qui, après être passé de la gauche à la droite (ce qu’on appelle un glissement), est désormais à l’UMP : l’UMP accueille volontiers les transfuges. Le PS et l’UMP ont la même vocation pour l’oppression républicaine quand il s’agit des familles du peuple. La France est sous la férule d’un état tout puissant qui encadre et régente la liberté de penser. Sortant du vivier de l’université où il prêchait l’école laïque et un truc dans le genre « droit public », Portelli a décidé d’engager le combat contre la liberté de l’enseignement (ce qu’il en reste), avec derrière lui tout l’appareil politique et la secte des éducateurs-pédaphiles. C’est un combat sans risque : celui du mammouth contre la souris ! Portelli, dans sa jeunesse, a beaucoup travaillé la stratégie de Gramsci, un intellectuel marxiste italien qui au fond de sa prison, a théorisé le concept de l’hégémonie culturelle. En gros, c’est la domination culturelle d’un groupe ou d’une classe sur le peuple et le rôle que les pratiques quotidiennes et les croyances collectives jouent dans l’établissement des systèmes de domination. Ce qu’on peut appeler idéologie dominante et que le PS et la droite font bouffer aux enfants dans les écoles. Mais Hugues Portelli passe maintenant aux travaux pratiques: il pratique l’hégémonisme culturel « à fond la classe », c’est pourquoi il lance « l’offensive finale » contre l’instruction familiale. « C’est la lutte finale, éduquons et demain, la gauche libéra- a-a-a-le, fera le genre humain »… Tiens ça me rappelle quelque chose (eux aussi ils sont pour le « genre »)???
On a donc affaire à un de ces militants du vivre ensemble, une thèse qui unit la mafia politique qui nous dirige selon la règle désormais inamovible de l’alternance. Des gens qui pratiquent le brassage social avec les enfants des autres… mais qui, généralement, mettent prudemment les leurs à l’abri dans des établissements « choisis » ! Intégrons, intégrons, la France « babélisée » doit se couper de ses racines historiques et l’EN s’en charge: l’Histoire est traitée sous l’angle d’une évolution inexorable vers la démocratie. Les conflits entre nations disparaissent des programmes, de même que la colonisation, la révolution, bref, tout ce qui nuit à l’idéologie socialiste et européenne.
Pour faire parler de soi en politique, on peut toujours déposer une loi contre l’IEF, mais Portelli ferme le filon. Plus d’IEF ! Après lui, il va falloir trouver autre chose à traquer. Il reste à interdire les Roms, les témoins de Jéhovah! Pas les juifs, non, Valls veille. D’ailleurs, ils ont le droit républicain pour eux, ce qui leur permet d’ouvrir des « écoles juives » pour mettre leurs enfants à l’abri de la « caillera » et des attentats: le vivre ensemble, ils le laissent dans la poubelle devant l’école. Bon, alors les musulmans? Non pas eux non plus! On leur construit des mosquées, ils ont des écoles coraniques… pour que les enfants puissent porter le voile. Tous les autres, les goys, les « roumis« , les cathos, les français de la classe moyenne et ceux économiquement démunis et tous les petits immigrés qui nous arrivent de partout, seront désormais parqués dans le collège public et accessoirement dans le collège privé (dans ce dernier cas, le brassage est plus discret). « Merde alors » , comme dit Valls qui pratique la langue du peuple, qu’est ce qui reste à traquer? Pourquoi pas l’école hors contrat ? Non pas celle-là non plus, car elle ne coûte rien et de toute façon elle est placée sous la tutelle de l’Etat, comme tout ce qui se fait en établissement. Mais il faudrait quand même faire attention à ne pas trop décimer du côté de la différence pour la construction de la Babel républicaine!
Rassurez-vous, le pluralisme qui va de pair avec la liberté de conscience, est totalement reconnu par la France, pays des droits de l’homme, je le rappelle ! Vous avez encore le droit d’être catholique ou protestant, mais il paraît que ces religions (selon Vincent PEILLON) ne sont pas adaptables à la nouvelle religion laïque… Vous avez totalement le droit d’être juif, à condition d’en être. Vous avez le droit d’être musulman, mais à condition de ne pas avoir de contacts avec les terroristes, donc attention à vos téléphones, attention à vos départs en vacances. Vous avez celui d’être homosexuel ou transsexuel, là c’est même recommandé, surtout à l’école, par les temps qui courent. Mais sorti de là vous n’avez que le droit de suivre la doctrine de l’Etat républicain qui, heureusement, pense pour vous, sinon, où irait-on? Ca serait n’importe quoi! D’ailleurs c’est à l’école qu’on apprend « l’esprit critique » – je dis bien « l’esprit critique », c’est à dire faire des « expériences » en classe avec ses camarades, poser des « hypothèses » et tirer des conclusions. Rien à voir avec le sens critique qui n’est pas nécessaire du tout pour être un bon citoyen ! Allez donc à l’école, vous en saurez plus.
La France, nous le savons, c’est le pays des droits de l’homme, de la liberté de conscience et tout ! En tout cas, ça l’était. Il y a quand même eu la révolution française, faudrait pas faire du NEGATIONNISME ! D’accord, ça n’a pas donné le même résultat qu’aux USA, c’est vrai, mais c’est simplement parce que Outre atlantique, ils n’aiment pas l’Etat… C’est juste une question de sensibilité, rien de plus. Nous on aime l’Etat et surtout, on a la chance de voter tout le temps, ce que beaucoup de pays nous envient. D’accord : on n’a pas le droit d’écrire son opinion sur le papier, ni d’utiliser le papier cul, mais on choisit des représentants PS ou UMP qui pensent pour nous: une fois c’est l’un, une fois l’autre. C’est ça le pluralisme républicain.
L’enseignement sous contrat est attaqué, l’instruction en famille est menacée d’éradication, les lobbys LGBT sont dans l’appareil politique et les enragés du monopole de l’Education par l’Etat sonnent la charge – Condorcet tu ne serais guère étonné de voir les conséquences désastreuses de l’emprise de l’Etat sur la famille … mais l’IEF reste isolée, psalmodiant le « droit au droit » et la complainte des parents opprimés tout en se livrant à son habituel prosélytisme sur internet pour gonfler les rangs !
La galère de l’IEF
On a connu Ségolène Royal qui a instrumenté la haine contre l’IEF pour se faire de la pub en vue des présidentielles. Laïque pure et dure, Ségolène avait cependant fréquenté le lycée privé Saint-Joseph d’Épinal, où elle obtint le baccalauréat B (sciences éco). Par la suite elle a fait la carrière que nous connaissons et s’est « cassée la gueule » ; je m’en réjouis pour la sécurité des français, car elle est capable de tout! La virago est à l’origine de la première circulaire, un texte ignoble, définissant les modalités du contrôle de l’instruction en famille; une procédure d’inquisition dont le contenu implicite accusait les parents de sectarisme, de perversions, de maltraitances, bref, l’échafaud les attendait pour leur refus de la scolarisation-poubelle. Aujourd’hui elle n’est plus rien, allez dégage fasciste!
« Les parents ne sont pas propriétaires de leurs enfants » (G. Fenech)
Nous avions un ennemi acharné en la personne de Georges Fenech (comme le petit animal africain), issu du Maghreb tunisien, président de la Miviludes, un député qui s’est donné l’image d’un « Monsieur Propre », mais qui a trainé certaines casseroles en Afrique (l’affaire Omar Bongo). Fenech travaille dans l’ombre. Il a donné à la Miviludes son caractère de Stasi, c’est à dire de phalange politique destinée à l’épuration politique et religieuse, traquant les associations religieuses et mouvements qui décalaient avec la ligne de la bien pensance républicaine. Un saint Just qui œuvre pour la scolarité obligatoire et l’interdiction de l’IEF.
L’IEF n’était pas sa seule cible : Fenech a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris le 1er juin 2012 pour diffamation publique, mettant en cause une association de laïcs catholiques, la TFP (Société Française de défense de la Tradition, Famille et Propriété) – dans le rapport annuel de la Miviludes, publié en 2009. Sans m’engager sur le motif (une affaire de collecte de fonds en gros), ce qui m’intéresse c’est que la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, spécialisée dans les affaires de presse, retient le caractère diffamatoire des propos incriminés figurant dans le rapport remis auprès au Premier Ministre. Elle relève « le manque de rigueur dans les vérifications ainsi que le manque de prudence dans l’expression d’un organisme étatique qui ne saurait se livrer à des approximations ».
En France il existe les religions « reconnues », financées par les pouvoirs publics, et d’autres qui échappent au contrôle de l’Etat et qui sont traquées. N’étant pas croyant, je ne suis ni défenseur du christianisme, ni défenseur d’une religion hindouiste ou d’une spiritualité quelconque, mais quand je regarde la vidéo qui est sans doute présentée par les témoins de Jehovah, je m’inquiète concernant la liberté de croyance qui est une des libertés fondamentales. Je ne vois d’ailleurs aucune différence entre les pratiques de l’EN envers les enfants et celles des TJ, car pour l’EN la « salle du royaume, c’est la salle de classe! La Miviludes établit une norme en matière de croyances. Il en est de même concernant la liberté de l’instruction: la Miviludes, là encore, traque les parents qui ne suivent pas la voie officielle et défendent leurs valeurs.
La Miviludes permet aux différents gouvernements de ne pas se mouiller dans des attaques contre la dissidence. C’est la Miviludes qui en porte la responsabilité et qui fait le sale boulot pour les grands partis, tout en se donnant l’image d’une structure qui assure la protection des citoyens. Il est temps de lancer une pétition demandant la suppression de la Miviludes afin que les libertés publiques soient respectées en France.
Non seulement la Miviludes enquête officiellement sur les sectes pour le compte du gouvernement, mais elle s’acharne sur l’IEF, par des enquêtes répétées qui visent à entretenir la confusion entre l’appartenance sectaire et l’instruction en famille, tout en concluant dans ses rapports que la présence de parents sectaires en IEF est faible – et donc inférieure au degré de sectarisme de la Miviludes. Ce qui montre que la famille est au cœur de la répression dans le contexte politique actuel. La Miviludes est en contact direct avec l’EN et les sénateurs, dont certains trouvent là l’occasion de marquer leur passage en proposant des projets de loi qui répondent aux recommandations de cette structure politique opaque. Le pouvoir de nuisance de la Miviludes est permanent.
M. Hugues Portelli, intégriste de la Miviludes,
mène aujourd’hui l’offensive contre l’IEF.
Né au Maghreb lui aussi, il prend le relai de George Fenech et porte l’attaque à son point culminant en utilisant un argument que les contrôleurs de l’EN n’ont cessé de mettre en avant. Interdire l’IEF pour assurer aux enfants une indispensable « socialisation »… la messe socialiste est dite. Mais quel est le curé? Faut-il dire « un sénateur de l’UMP » ( un parti qui a un pied dans la république et l’autre dans le mondialisme selon les besoins) ou une taupe de la Miviludes? Hugues Portelli est bien un membre du Conseil d’Orientation de la Miviludes, on s’en serait douté! On trouvera aussi le nom de Christian Cambon comme auteur de questions relatives aux dérives sectaires dans les services de santé, celui de Jacques Gautier dans une cession qui fait intervenir également la Miviludes. De près ou de loin ces sénateurs font partie des relais de la Miviludes. Le crabe est dans la république, la secte est au cœur d’un ensemble de projets de loi qui, dans différents domaines, visent à éliminer des orientations politiques, religieuses ou philosophiques que le pouvoir juge indésirables.
« La SOCIALISATION » obligatoire par l’école!
Le terme « socialisation » revêt des significations variées, j’en retiendrai deux: l’une socialisante, l’autre psychologisante.
1/ « Processus d’intégration à la société, apprentissage de la vie de groupe ». Cette définition conviendrait bien aux colonies de vacances où l’enfant s’immerge dans la vie collective. Les pédagogistes, ces imposteurs, ont introduit le concept de vie en classe. Nous voici donc devant l’escroquerie à l’instruction: l’Etat n’est plus en charge de l’instruction du peuple, il s’adonne à l’éducation populaire, comme dans le tiers monde: il éduque, il civilise, il colonise…
Nous décernons donc « zette zuperbe gazguette » de la Stasi à Hugues Portelli et nous lui disons « Porte-la », elle te va parfaitement! Tu vas faire de l’école un « choli un camp de sozialization » pour les enfants des parents dissidents qui ont un goût trop prononcé pour la liberté de l’enseignement …
Cette conception étatique de la socialisation est fondamentalement éducative et normative. Quels en sont les bienfaits ? Je cite un document publié par des enseignants:
« En 1999, suite au rapport sur le collège de l’an 2000 et la consultation sur la vie lycéenne, deux notes au B.O. préconisent l’inscription d’une heure de vie de classe dans l’emploi du temps des élèves, au collège comme au lycée. Les problèmes d’incivilité, de violence, de démotivation qui affectent l’institution scolaire peuvent trouver là un espace de médiation et de prévention. L’intention est claire : donner la parole aux élèves, favoriser le dialogue avec les enseignants et les membres de l’équipe éducative. L’objectif est d’offrir aux établissements un outil de médiation pour réguler la vie de la classe, désamorcer les conflits et ouvrir l’école sur les préoccupations adolescentes. On sait aujourd’hui combien l’absence de communication entre élèves et adultes, l’absence de parole sur le sens de l’école et l’absence de prise des élèves sur leur vécu scolaire peuvent faire violence. »
L’élève est donc contraint de s’exprimer en groupe sur son vécu scolaire, de se dévoiler, car cette heure est imposée. L’autre aspect de cette socialisation-caserne, lié à ces thérapies de groupe (lieu du contrôle des comportements), c’est l’enregistrement constant de l’attitude de l’enfant et de l’adolescent, sous forme de « compétences », une pression qui conduit à l’uniformisation et tue la personnalité de l’enfant: ‘‘tout enfant s’éloignant trop de la norme, par sa manière personnelle d’apprendre, de penser ou de se comporter, est testé et étiqueté » (Charlotte DIEN). Faut-il ajouter que le « groupe classe » est utilisé comme un instrument de pression pour amener le jeune à la norme. L’enfant est face à un miroir qui lui renvoie une image selon son degré d’intégration dans le groupe et de convergence avec lui. Du coup, il « s’aligne » pour éviter la marginalisation et les pressions du groupe.
2/ Selon les psy, « La socialisation est aussi une sorte de sublimation de nos pulsions agressives. Un apprivoisement de nos désirs profonds en « exposition gracieuse ». La pulsion est souvent refoulée sans être domestiquée. Et pourtant elle s’apprivoise, se gère, s’appréhende, mais se doit de vivre, d’être partagée, d’être comprise, elle est en nous et nous nous devons de ne pas l’ignorer et de la laisser s’exprimer. Il est essentiel de traduire les pulsions par la parole. L’enfant a besoin de ses parents et autres éducateurs (professeurs, nounous, grands-parents, référents…) pour apprendre, comprendre et s’autoriser à prendre le meilleur « chemin » possible, car il en existe de si nombreux… Ce parcours est donc confus et nécessite un accompagnement avec encouragements à la clef, permissions relatives et interdictions, sa réussite comme son échec auront un sens à l’âge adulte. »
J’ajoute que la socialisation naturelle se fait par imprégnation, mais on peut admettre qu’elle présente un inconvénient: sa qualité dépend de la « qualité relationnelle et culturelle » de l’environnement familial et des contacts externes à la famille du jeune. J’y reviendrai.
Ce sont donc deux conceptions qui divergent totalement. Cette seconde définition de la socialisation est épanouissante, au sens où elle est naturelle, elle ne relève pas de la caserne. En un mot elle est humanisante et parfaitement adaptée au cadre familial: je dirais même qu’elle est incompatible avec le cadre scolaire actuel.
A contrario, l’école « éducatrice », malade de ses délires, fabrique une violence par concentration de jeunes qui n’ont pas les mêmes références, qui n’ont pas les mêmes chances, qui n’ont pas les mêmes aspirations. La violence de l’institution scolaire sur la jeunesse, par sa volonté de les parquer, de les encaserner, de les couper du monde, engendre la violence des jeunes entre eux et contre les enseignants. Mais ce sont les jeunes eux-mêmes qui sont la cible de ces séances de thérapie institutionnelles imposées pour « extérioriser leur vécu scolaire », leur souffrance et jusqu’à leur vie familiale!! C’est de la perversion à l’état pur, du déni de violence contre la jeunesse. D’ailleurs c’est un des points sur lequel je suis en accord avec les psychiatres et les psychologues (ceux qui sont crédibles): un enfant en souffrance doit pouvoir extérioriser cette souffrance hors de l’école et si nécessaire hors des parents, quand ces derniers le mettent en difficulté, mais cette parole qui ne peut en aucun cas être produite dans l’institution scolaire, car elle ne doit pas être entendue par des manipulateurs qui sont prêts à s’en servir contre la famille. Le voyeurisme de l’EN est dangereux! C’est donc un cadre de socialisation merdique que M. Portelli prétend nous imposer comme mode d’intégration à la vie sociale et adulte !!! Non M. Portelli, cette socialisation poubelle, il faut la réserver à vos enfants, si vous avez envie d’en faire des cobayes.
Pour l’éducation citoyenne en famille, nous proposons une heure hebdomadaire de manif avec les enfants , face aux CRS qui sont spécialisés dans l’écoute des revendications populaires. L’éducation citoyenne et démocratique dans la réalité de la « vie en France » est beaucoup plus pédagogique et efficace; par exemple à RODEZ où les mères veilleuses tentaient de s’exprimer et furent éjectées par des CRS. C’est dans la rue que les enfants peuvent apprendre dans quel pays « démocratique » ils vivent et faire l’apprentissage du respect de l’autre et du sens critique.
L’EN falsifiait sans vergogne les rapports de contrôle de l’IEF (il faut en lire pour le croire) pour étayer l’accusation selon laquelle les enfants instruits en famille souffrent d’un manque de socialisation. Puisque les accusations d’affiliations sectaires étaient démenties par les rapports de la Miviludes, il fallait inventer des accusations face à l’opinion publique. Depuis quelques années, l’EN préparait le terrain, dramatisant les défaillances, dressant un tableau toujours pathologique et confiné du cadre familial. Le manque de socialisation est une accusation qui a l’avantage de ne pas pouvoir être prouvée, on est dans le flou juridique. Les rapports étaient donc partiaux, accusateurs. Si l’EN dit que la socialisation est défectueuse, les parents n’ont pas de recours ou alors ils doivent engager une procédure en justice. L’IEF est le seul accusé qui ne bénéficie pas de la présomption d’innocence. De telles méthodes d’intoxication, dignes de l’inquisition, ont sans doute permis d’accumuler des dossiers à charge et de préparer la grande offensive dont M. Portelli a pris les rênes. C’est donc la socialisation scolaire qui une fois de plus est présentée comme le motif de scolarisation obligatoire : elle sera imposée aux parents par la force des matraques s’il le faut.
La ruse grossière de la secte scolaire, c’est de dire que l’enfant manque de socialisation « parce qu’il ne fréquente pas l’école et ses pairs« : ça c’est la version officielle! Cependant, ce faux argument, aussi simpliste soit-il, fonctionne et contre lui, les parents sont démunis, car quoiqu’ils disent, quoiqu’ils fassent, leurs solutions ne sont jamais prises en compte, puisque l’opinion publique formatée « pense » (si j’ose dire) que l’enfant doit vivre parmi les autres enfants. C’est devenu une norme et un crétin moyen ne peut pas prendre du recul par rapport à une norme de cette ampleur (je parle ici en sociologue). Pourtant la norme en matière de sexe est mise en cause par l’Etat et l’Europe par la théorie du genre. Dans ce cas, le crétin lambda acceptera la nouvelle norme parce qu’elle vient de l’autorité (expérience de Stanley Milgram).
L’accusation officielle qui pèse sur l’IEF n’est pas la vérité;
le vrai motif de l’interdiction de l’IEF dans la bouche d’un ministre .
Ce propos qui s’inscrit dans la tradition républicaine « émancipatrice » et celle de la franc maçonnerie, peut être pris dans un sens modéré ou dans un sens exalté et radical, comme c’était le cas de Ségolène Royal.
Ce que ce ministre ne dit pas, c’est quelle est la méthode pratiquée pour réaliser cette destruction des attaches familiales? Pendant des années, les enfoirés de l’EN n’ont pas cessé de parler « d’autonomie » de l’enfant . « Autonomie », un mot dangereux que les psy soutenaient à fond, donnant à cette politique de rupture entre la famille et l’école une légitimité d’apparence « scientifique », comme si le freudisme était une science !! Ce que Peillon ne dit pas c’est comment et dans quelles conditions, la construction de ce citoyen va se faire ? C’est un peu comme si on élevait les enfants dans des cages à lapins en déclarant qu’ils vont apprendre à penser.
Qui est Vincent Peillon? C’est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors d’URSS, « la Banque Commerciale pour l’Europe du Nord – Eurobank », puis de la banque franco-algérienne « Union méditerranéenne de banque ». Du côté maternel, il est issu d’une famille juive alsacienne. En mai 2012, le site internet israélien JSS News notait que « Vincent Peillon, lui-même non juif (une de ses grand-mère était juive), marié avec Nathalie Bensahel (journaliste au Nouvel Obs), a célébré la bar-mitzva d’un de ses enfants il y a peu. Avec un pareil héritage, on peut être certain que l’apprentissage de la Shoah demeurera important pour ce gouvernement (…) Le gouvernement “Ayrault 1” a de quoi satisfaire les Français d’Israël ». Je lis ailleurs . « Il avait célébré la Bar-Mitsva de son fils Elie à la synagogue de la Place des Vosges à Paris. Pour la circonstance, Vincent PEILLON, qui a épousé en seconde noces la journaliste Nathalie Bensahel, avait mis les tefillins et était monté à la Torah ».
Agrégé de philosophie, il est nommé ministre de l’Éducation Nationale. Côté engagement, il semble ne s’être engagé qu’au PS, mais il est identifié comme franc-maçon du GODF et ne s’en cache pas, mais ayant été moi même franc-maçon, je trouve que sa laïcité sent plus la synagogue que celle du temple maçonnique : disons qu’il fait la synthèse! Je cite un blog qui définit ainsi la pensée de Peillon. « Il est attaché à une conception maçonnique de la république façonnée par les judéo-protestants libéraux et les libéraux de tout horizon, alignée sur les révolutions anglo-hollando-américaines, pour détruire le pouvoir spirituel de l’église catholique« . Il faut savoir qu’il a bénéficié de l’appui de Ségolène Royal, l’enragée contre l’IEF , et rappeler que ce gouvernement Hollande concentre des francs maçons et des juifs.
Les critiques de Peillon contre l’église catholique et protestante, emballées dans sa conception très « spirituelle » de la laïcité, paraissent plutôt anti-chrétienne. Voici ce qu’il dit en substance dans la vidéo précédente: « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec l’église catholique, mais comme on ne peut pas non plus acclimater le protestantisme en France, comme on l’a fait dans d’autres démocratie (note 1), il faut inventer une religion républicaine (…) et cette religion républicaine, c’est la laïcité ». Est-ce que M. Vincent PEILLON ne serait pas de ceux qui travaillent à la destruction de la famille et dans le même temps de ses racines chrétiennes ? (…)
En revanche concernant l’introduction du genre à l’école, il se déclare opposé : « La théorie du genre consiste à dire, dans le fond, qu’il n’y a pas de différences entre les garçons et les filles (…) J’y suis défavorable ». En revanche, « je suis pour qu’à l’école […] nous soyons capables de mettre en œuvre l’égalité fille-garçon et de permettre aux garçons comme aux filles d’avoir des ambitions qui ne soient pas uniquement construites sur des stéréotypes ». La réalité est cependant autre et l’association RAID de Farida Belghoul alerte les parents sur le double langage de l’EN qui introduit dans les livres scolaires des références au genre. Il ne s’agit nullement de « groupes extrémistes » ou de rumeurs, comme le prétend Danielle DREYER, adjointe au maire de Strasbourg, qui tente de faire un contrefeu. A plusieurs reprises, Peillon a rappelé « la nécessité de lutter contre les LGBT-phobies ». En tant que ministre de l’Éducation nationale, il pourrait donner son feu vert à une sensibilisation en milieu scolaire plus efficace de cette question dès les plus petites classes. Il considère qu’ouvrir l’adoption aux couples de même sexe est une «évidence» ».
Notre ministre de l’Education Nationalisée est donc ouvert à la nouvelle conception de la famille et devrait nous éclairer sur ses pratiques émancipatrices! Je ne suis pas du tout « LGBT-phobique », je trouve que c’est même plutôt sympa leur cours d’éducation sur l’égalité dans le nouveau couple, mais faut-il aller jusqu’à l’expliquer aux enfants de la maternelle? Ne pourrait-on pas attendre au moins la 6ème? Je constate par ailleurs que le cours d’éducation sexuelle est parfaitement adapté à la doctrine pédagogiste (« l’enfant construit lui-même son savoir »)… Putain, ça va construire à tour de … bras!
Quand on met son enfant à l’école, contraint et forcé, il faudra pratiquer plusieurs types de traitement (comme pour les poux) à son retour de celle-ci :
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un désenvoûtement pour exorciser le diable : lui faire réciter un chapitre complet de l’œuvre de Catherine BAKER ou lui passer un DVD sur la vie du Christ.
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lui faire prendre du vomitif pour régurgiter les saloperies qu’il aura avalé et lui donner une douche avec lavage à la Bétadine
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lui faire regarder un film sur la vie des Touaregs, des indiens d’Amazonie, ou lui passer la série « Le prisonnier » de Patrick McGohan
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pour le protéger de sa journée du lendemain, il verra un film sur la vie en Chine communiste
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en partant pour l’école, on lui mettra un protège dents et des boules Quiès.
Ce qu’il faut retenir , c’est que l’école est revenue sur le terrain idéologique et qu’elle fait un retour à la pensée socialiste pure et dure, en opposant l’école à la famille, avec le projet explicite de séparer l’enfant de son milieu d’origine pour lui donner une nouvelle personnalité sociale détachée de ses racines. Le concept d’égalité sert de cheval de Troie pour faire entrer des théories du genre dans l’école, portées par l’alliance du PS avec les courants gays, lesbiennes, etc.
Le projet du PS est de construire un individu isolé au sein d’une nation, à laquelle il est cependant cimenté par une sorte de spiritualité laïque et par l’éducation citoyenne. De la merde ! A quoi la famille oppose le lien naturel et inaltérable de la filiation qui soude les individus en groupes familiaux et en communautés solidaires. On voit bien en quoi l’IEF s’inscrit à contre courant des projets de transformation sociale mis en œuvre par le PS .
Ce « dépouillement » ou cet arrachement, l’IEF le rejette.
C’est précisément ce qui rend l’IEF inconciliable avec cette vision socialisante de l’éducation étatique. Pour ceux qui ont la mission d’arracher l’enfant à son habitus (selon le terme de Bourdieu), si on veut opérer cette « transformation » de l’enfant en atome d’une société, la famille n’est pas acclimatable aux objectifs du PS pour trois raisons:
1/ elle prive l’enfant des séances de « thérapie de groupe » et de l’éducation citoyenne qui est l’objectif transversal de la vie scolaire et que l’EN organise en classe, entre enfants, hors de la présence des parents et à l’insu de ces emmerdeurs !
2/ elle garde la main sur l’enfant et contrôle les orientations éducatives, ce qui est contraire avec la domination que l’école veut exercer. Un enfant qui vit dans l’univers familial est fatalement coupé des adultes qui pensent autrement que ses parents, et en particulier des enseignants qui ont la charge de transformer ses habitus, de couper les racines culturelles de l’enfant, parce qu’elles sont particulières, parce qu’elles l’inscrivent dans un groupe humain différent, exclusif, voire communautaire, alors que l’école veut amener l’enfant à intégrer des références universelles.
3/ la famille est conservatrice et soutient la différence des sexes et généralement des rôles
En famille, le contact avec les adultes est plus restreint, sauf s’il s’agit d’une communauté (genre squat). A moins que le jeune ne soit en contact avec des adultes « cultivés », qu’il côtoie dans l’environnement proche (professionnel notamment), mais de toute façon, au yeux de l’EN et de la gauche, ces adultes ne sont pas « habilités » à faire l’éducation citoyenne telle que la conçoit l’EN. L’objectif, c’est toujours de mettre la main sur l’enfant et de lui inculquer la religion laïque, de le façonner pour en faire un clone.
Si on traite la question d’un point de vue plus banal, celui de M. Dupont, qui n’est ni un pédagogiste ni un enseignant, ce dernier reprochera à la famille de filtrer l’environnement de l’enfant, qu’elle le fasse volontairement ou non, soit selon ses propres convictions religieuses, soit selon ses convictions politiques, philosophiques, ou tout simplement selon l’ouverture d’esprit des parents, selon leur culture, etc. Cette mise en cause de la socialisation en famille est celle que l’opinion publique est prête à entendre et qui sert d’alibi aux pédagogistes. Il y a donc une convergence des critiques contre l’IEF, bien qu’elles soient de nature très différente.
Si le cadre familial est trop orienté philosophiquement, trop restreint, il prive en effet l’enfant de la possibilité de développer son esprit critique dans une confrontation avec des adultes qui ont d’autres orientations. Du coup, c’est bien un formatage qui s’opère dans le cadre familial, sans parler « d’enfermement » comme les inspecteurs le prétendent.
C’est un grief qu’on peut légitimement opposer à l’IEF. Il est alors utile que l’enfant ait accès à des débats par le biais d’internet notamment sur les questions qui sont soulevées par l’actualité, en France et dans le monde. L’accès à internet est une ouverture, mais elle doit être encadrée. Il est indéniable que « l’ouverture » offerte à l’enfant sur le monde et sur les idées qui le traversent, découle de l’ouverture des parents, de leur propre culture. Certains parents , sans vouloir les accabler, n’ont pas suffisamment de bagage pour apporter à l’enfant une ouverture intellectuelle et ont alors intérêt à suivre les ouvrages scolaires, aussi pauvres et orientés soient-ils aujourd’hui.
Mais a contrario, quand l’école s’enferme dans un cadre idéologique très orienté, qu’elle affirme son intention de « modeler » la jeunesse en fonction de ce qu’elle veut, de ce qu’elle juge « épanouissant (compétences, idéologie, morale citoyenne, etc) comme c’est le cas depuis les années 80, on ne peut plus parler d’ouverture sur le monde par l’école: l’école devient dangereuse pour l’épanouissement des enfants en portant atteinte à leur liberté de penser. Ce n’est pas en enfermant un enfant dans une secte qu’on va développer son esprit critique, au contraire. D’autant que le livrer en pâture au groupe de la classe, c’est prendre le risque de le confronter douloureusement à des opinions stupides, infantilisantes, qui l’expose à l’agressivité et qui de toute façon n’ont aucun caractère commun avec l’Instruction: c’est ce qu’on appelle « le café du commerce ». Descendre au niveau de la rue, c’est priver l’enfant de ce dont il a besoin, c’est à dire le priver d’un niveau de réflexion au dessus du commun. La connaissance suppose de rétablir la fonction de maître, d’enseignant. Il est certains que dans l’IEF, beaucoup se réjouissent de voir l’enseignement magistral refusé et remplacé par cette idéologie répugnante de l’enfant qui construit lui-même son savoir – véritable crime contre l’enfance. Ceux là n’ont pu que se sentir confortés dans leur désir de supprimer la Culture en tant que domination. D’autres ont pu trouver dans cette mise à distance des programmes officiels stéréotypés, la possibilité d’offrir à l’enfant un contenu à la carte et de fait, ils peuvent personnaliser l’instruction, sachant que nul ne peut embrasser tous les domaines de la connaissance. Il faut bien choisir en effet , mais pas trop tôt. C’est pourquoi, je dis qu’aujourd’hui, l’IEF comme l’école, sont à repenser.
La socialisation scolaire, comment ça marche ?
4 vidéos qui sont parlantes ! A regarder sans modération.
1ère étape : confrontation avec l’autre. Harcèlement. Peut-on s’épanouir et apprendre dans ce merdier où règne la vulgarité, la bêtise et la violence ? Pauvre école!
=>Toute une histoire – Harcèlement scolaire
=>5 courts métrages « La Violence Scolaire » :
2ème étape : en parler en « groupe », mais la parole y est fortement censurée (droit de véto) … heureusement!
3ème étape : les enseignants déprimés se soignent à l’établissement « La verrière ». Pauvres enseignants !
4ème étape: des enfants sont déprimés par l’école. Vous n’en verrez pas, car c’est un sujet tabou qui les conduit chez un psy … Pauvres enfants!
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« Bonjour! Voilà tout est dans le titre cette année j’ai commencé une nouvelle école et dès le premier jour je m’y suis sentie mal. Ambiance, cours, les gens…au fur et à mesure c’est devenu de pire en pire aujourd’hui je suis en dépression et j’y pense tous les jours. J’ai dû m’arreter la semaine dernière parce que je me suis mise à fondre en larme en plein cours. Là je suis en vacances mais je pense tout le temps à l’école et aux travaux de groupe que je dois faire sans en avoir la force…mes parents me disent de continuer car ils pensent que l’école n’est pas la cause du problème qui est + profond, mais je trouve qd même la coincidence bizarre entre le moment ou j’ai commencé à aller mal et le début dans cette école…des fois je m’auto persuade que ça va aller mieux je suis ss seroplex je vois une psy, mais pour le moment moral à zéro, merci de m’avoir lue, je ne sais pas quoi faire… arrêter ou continuer? »
- http://forum.doctissimo.fr/psychologie/depression-deprime-stress/depression-cause-sujet_193412_1.htm
Avez-vous envie de laisser vos enfants vivre dans ce merdier que l’EN leur impose pour « l’épanouissement de leur personnalité » ?
La secte scolaire s’est attribué le pouvoir de condamner l’IEF pour la simple raison qu’elle déscolarise – point barre ! – et sans que les accusés puissent disposer d’avocats, sans que les procès se déroulent devant une tribune publique. Le procès a été mené dans la plus complète discrétion dans le cadre de l’appareil d’Etat; les rapports eux-mêmes ne furent pas communiqués systématiquement aux familles. Bref, cette parodie de contrôle n’était destinée qu’à leurrer et justifier la répression qui arrive. Les parents en IEF avaient donc affaire à une Stasi scolaire. L’avaient-ils compris ? Beaucoup espéraient obtenir des satisfécits de la part de ces fonctionnaires pervers – et pourquoi pas la médaille du travail, « tant qu’à faire » ? Maintenant ils savent qu’ils avaient affaire à un véritable « ennemi », jamais à des contrôleurs impartiaux.
Il est vrai que M. Portelli ne voit pas la question sous l’angle de l’oppression des familles qui résistent à « l’étatisation des enfants ». S’attaquer aux familles avec l’appareil d’Etat, en présentant au sénat un projet liberticide et anticonstitutionnel, c’est sans doute l’ambition de ce politicien au parcours ambitieux. Ce fossoyeur de la famille a flirté avec le journal la Croix, car il serait un tantinet religieux, mais quand il s’agit de la porter, c’est nous qui la portons à sa place.
Pourquoi une poignée de sénateurs de l’UMP se charge-t-elle de faire la politique du PS ?
Ce boulot de nettoyeurs des opposants à l’école, ce sont les socialistes qui devraient l’assumer, en cohérence avec leur idéologie et leur intégrisme. La soudaineté de cette loi qui sort peu de temps après la période Sarkozy est calculée. On peut légitimement penser qu’il y a eu une entente entre l’UMP et le PS, en rappelant que Portelli est un transfuge qui a des idées à gauche et le cul sur un siège de droite. Mais il est suivi par un groupuscule qui vient de l’UMP: ça sent l’entente crapuleuse ! La droite dira que c’est sous Hollande que l’IEF a été rayée de la carte républicaine et la gauche dira que c’est l’UMP qui a sorti la loi. La droite pourra encore dire que Portelli est plus socialo qu’UMP, compte tenu de son passé. Autre hypothèse (j’applique ici la méthode scolaire des hypothèses): l’UMP a décidé de sortir cette loi sous un gouvernement de gauche, pour couper l’herbe sous les pieds d’Hollande, en utilisant un transfuge qui de toute façon est moitié bleu, moitié rose, « avec un fort soupçon de rouge ». C’est le cloaque républicain.
Pour ce qui est de la motivation de l’UMP qui de mon point de vue est avant tout sécuritaire (avoir l’oeil sur les familles), il y aurait une inquiétude que trop de parents désertent le navire éducation nationale en raison de la dégradation de l’enseignement et quand le bateau coule, on saborde les canots de sauvetage !!
Un(e) internaute X dont j’ai cité le texte en intro de mon article, écrit ceci : « finalement, les raisons qui entraînent (cette) situation (sont les suivantes) : la France impose l’instruction, elle n’impose pas la méthode. Enfin, pas encore et c’est là qu’intervient l’ensemble des instruments à vent du Sénat qui vient de déposer le projet auparavant cité. Le but est simple : mettre fin à cette situation scandaleuse où des parents, conscients du gâchis de plus en plus catastrophique que constitue l’enseignement industriel bas de gamme fourni par l’État, décident de s’occuper eux-mêmes de l’instruction de leurs enfants. » Elle écrit aussi ceci : « Manque de pot ou mauvaise couverture du radar socialiste, plusieurs dizaines de milliers de bambins échappent encore au moule républicain et cette proposition de loi arrive donc pour combler cette lacune et balayer ces terribles zones d’ombre du phare stroboscopique de la pensée socialiste. » Deux raisons qui ont certes leur valeur, mais qui ne suffisent pas à expliquer que l’UMP se soit chargée elle-même d’une opération « nettoyage » de la dissidence scolaire, alors que cette opération devait mobiliser les socialos en priorité. J’attends quelque chose de lui convaincant.
On peut penser que l’UMP est favorable à la coexistence de l’enseignement public et privé, mais quand il s’agit de sortir du dispositif républicain (qui permet d’assurer la surveillance des familles) en déscolarisant le jeune, la droite sécuritaire est visiblement hostile. Pour ces deux partis, il faut que la famille et l’enfant soient sous le contrôle de l’Etat, il faut que l’enfant soit « éduqué » selon des normes définies par les appareils politico-éducatifs. La triste réalité française de cette emprise de l’Etat sur l’enfant, c’est que l’Etat n’a que foutre de l’épanouissement de la jeunesse – il suffit de regarder ce que sont les établissements scolaires: certains se transforment en ghettos – ce qui compte, c’est le contrôle, c’est l’encadrement éducatif, c’est le brassage social pour les classes populaires, c’est la volonté de mettre ensemble les enfants de l’immigration et les français des classes laborieuses. Ce qu’ils veulent c’est faire de la France le Brésil, avec une classe dominante de type européen mais le peuple sera métissé.
On pourrait se demander si la droite UMP se préoccupe des familles de militaires et des familles catholiques qui pratiquent l’IEF parce qu’elles ont une ambition intellectuelle pour leurs enfants et qu’elles constatent que la république n’élève le niveau scolaire que dans des zones précises (centre ville, etc). Elles refusaient l’enseignement en établissement pour des raisons qui tiennent à la fréquentation scolaire dans leur zone de résidence, qui tiennent à leur refus du brassage et de l’idéologie véhiculée par la gauche en matière d’enseignement (ce sont des familles qui considèrent que l’enfant est sous leur responsabilité). Ce sont des familles qui exigent un niveau d’enseignement correct, sans rapport avec les programmes désastreux qui sont ceux du collège. Pour toutes ces raisons, elles méprisent la fabrique du crétin. Sans parler des familles monarchistes, des familles qui ont un cadre familial religieux, ces familles jusque là épargnées par l’offensive républicaine, seraient maintenant confrontées à la scolarisation obligatoire. L’UMP a donc choisi de se passer de cet électorat.
De la cohérence des engagements politiques de M. Portelli?
Sa dernière performance au sénat l’opposait « au mariage pour tous », il présentait les arguments suivants :
1/ selon lui, les droits de l’homme s’enracinent dans « le droit naturel » (le départ est bon, mais c’est la chute qui fait mal)… et d’affirmer que « le droit naturel de la famille, de ses éléments constitutifs, n’est nullement contradictoire avec le fait que tous les hommes soient égaux… et patati et patata! Bref, concernant la reproduction et la filiation, M. Hugues Portelli est favorable à ce que cela se passe dans le vagin maternel, plutôt que dans le cul d’un… Il conclut que « cette égalité en droit ne peut pas nier les différences sexuelles » et que la sexualité naturelle fondatrice de notre société, ne peut pas être remplacée par une sexualité « virtuelle » (le mot est assez joli) et non vituelle .
2/ Le mariage est cependant une « institution sociale », ajoute-t-il, et l’union d’un homme et d’une femme permet de construire une famille et de donner aux enfants de cette famille une sécurité « affective et sociale », donnant au mariage la force symbolique d’une institution qui structure toute l’histoire de l’humanité (…). La loi intitulée « le mariage pour tous » fragilise définitivement l’image et le rôle du père et de la mère, (…) sans se poser la question du respect du droit de l’enfant à se construire de façon équilibrée ». Enfin cette loi, dit-il, est le cheval de Troie de la procréation assistée. M. Portelli ne craint pas de mettre en cause le caractère partiel et partial de l’étude d’impact du projet de cette loi, ce qui ne manquera pas de lui être reproché de la même façon pour son projet de scolarité obligatoire, car il a supprimé toute étude préalable, étant convaincu sans doute qu’il avait pour lui la force du nombre et que les minorités sont négligeables en termes d’impacts.
Bref, M. Portelli était donc incontestablement un défenseur de la famille contre le projet du PS qui vise au contraire l’assujettissement de la famille, qui vise à faire de celle-ci une simple structure d’accueil de l’enfant, destinée à accompagner l’action éducative de l’état. Pour les partisans de la scolarité obligatoire, l’enfant appartient à la république et les parents ne sont que des auxiliaires révocables à tout moment. On devait donc s’attendre à ce que M. Portelli se distancie du projet éducatif de socialisation obligatoire par l’école, rêve des socialo-pédagos et qu’il soutienne les droits de la famille et de l’enfant en matière de choix éducatif, eh bien non: M. Portelli tient un double langage: naturaliste du côté droit, mais socialisant du côté gauche, partisan de l’enlèvement de l’enfant à ses géniteurs pour lui faire subir le lavage de cerveau scolaire et l’immerger dans la caillera multi ethnique que les établissements concentrent. Ce qu’on appelle communément colonisation des cerveaux.
M. Portelli présente des facettes mal connues : je cite un article qui le définit comme un de ces maires qui collaborent à l’implantation islamique en France et du coup je comprends mieux que ce sénateur soit un partisan du vivre ensemble, je vais en révéler le sens politique.
La mosquée Arrahma s’étale sur 1217 m2 de terrain, rue de l’Appel du 18 juin (sic), en pleine zone pavillonnaire à côté du collège Saint-Exupéry ( sic) à Ermont, commune dont M. Portelli est le maire. Je cite l’article :
« Le maire collaborateur, Hugues Portelli, (est) actuellement sénateur UMP, mais ancien du PS, connu dans le monde universitaire pour être un des premiers commentateurs des textes de Antonio Gramsci (1891-1937), dirigeant du Parti communiste italien, salutairement mort dans les prisons de Mussolini. Cette incarnation de l’UMPS avoue implicitement dans son dernier édito municipal que la ville est très peu sûre, commençant par ces mots : « L’été arrive. C’est le temps des vacances pour tous ceux d’entre nous qui ont la chance d’en profiter. Durant leur absence, l’Opération Tranquillité Vacances avec les polices nationales et municipales reprend afin de sécuriser les résidences. » Insécurité corroborée par l’Echo Régional, qui dans la même page évoquant l’avancement de la mosquée, consacre un long article au nouveau commissariat qui coûtera…8 650 000 euros, pour contenir 150 policiers. Ouverture en 2010. » (Joachim Véliocas)
C’est renversant. Voilà un sénateur qui milite pour la socialisation-poubelle par l’école, qui collabore au développement de la culture islamique en France et mais construit des commissariats monumentaux pour encadrer les effets dommageables sur la population d’une forte présence immigrée…
« Le vivre ensemble », c’est fait pour les enfants des banlieues, faut-il le rappeler ! La socialisation poubelle est obligatoire comme un service militaire, sans drapeau et sans idéal et si le mariage pour tous est « contre nature », l’école pour tous est un formatage tout aussi répugnant qui conduit à l’égalisation par le bas.
L’argument de la socialisation collectivisée, à défaut d’instruction, est le cheval de bataille des partisans acharnés de l’éducation publique. Il est utilisé comme un rouleau compresseur par l’appareil politique et l’éducation nationale, cette secte de staliniens shootés aux œuvres de Philippe Meirieu. Les mots n’ont d’ailleurs plus de sens puisque les arguments sont de pure forme, destinés à servir d’alibi à un système étatique qui se passe de justification car sa force répressive contre quelques rares parents en résistance, le dispense de toute légitimité. Tout l’appareil politique pratique la même religion et récite le même catéchisme en faveur de l’école de la république, c’est une spécialité française, alors à quoi bon se justifier. En France on pense à droite pour les affaires, mais on adopte les méthodes staliniennes pour l’éducation. Comme dirait Dieudonné : « c’est l’Etat qui parle, tu fermes ta gueule» ! D’ailleurs le travail de formatage des esprits remonte à loin, depuis bien avant les deux guerres, car la république s’est toujours servie de l’école pour préparer les enfants à servir la France, notamment sous forme de chair à canon. Elle a fait croire que l’école était la voie de l’émancipation populaire, alors qu’elle n’est que celle de l’emprise sur la personne de l’enfant. Il y a belle lurette que les français ont intégré la scolarité obligatoire, devenue une norme avant être une obligation. Ils se déchargent de l’instruction de leurs enfants en acceptant celle au rabais que leur inflige l’Education nationale. Ce qui change, c’est le remplacement progressif de la notion d’instruction par celle d’éducation. Qui irait se poser la question du sens de cette socialisation forcée sans idéaux nationaux, en remplacement de l’instruction d’antan.
Quel est donc cet ingrédient qui doit cimenter les petits cerveaux ? La nouvelle morale scolaire, c’est l’apprentissage de la citoyenneté docile et c’est la laïcité, que PEILLON qualifie de religion scolaire. Je crois qu’aujourd’hui l’école peut faire n’importe quoi, dès lors que les parents ont troqué leur responsabilité sur l’enfant contre des allocations qui leur tiennent lieu de revenu ou qui les complète. Quand bien même ils tenteraient d’en assumer une partie, elle ne serait que minime, car l’école est un appareil totalitaire qui a les pleins pouvoirs sur l‘enfant et les parents marchent au pas pour conduire leurs progéniture vers l’usine du crétin. Il paraît que leurs exigences résiduelles dérangent encore la corporation des pédago(gistes), mais j’ai quelques doutes sur la reconnaissance de leur droit à la parole.
« Procéder au rapt » précoce des esprits juvéniles pour les élever en batterie, les soumettre à la logique de la standardisation, les conditionner au langage et aux modes de comportement qui sont exigés pour devenir « un élève-citoyen », leur faire prendre l’aspect d’une pâte molle, apte à servir les intérêts du système quand toute référence familiale est supprimée, tel est le but 1er de l’école. Il n’est plus question d’apprendre à penser, ni de faire preuve d’un esprit critique. Le pire et le plus sournois, est l’utilisation du groupe d’élèves pour façonner la nouvelle personnalité sociale de ces adultes en devenir, le soumettre au « groupe »: c’est ce que M. Hugues Portelli nous propose !!!. L’essentiel étant l’apprentissage du « vivre ensemble » dans le groupe classe, qui impose le mélange entre les français de souche et des cohortes de sauvageons importés du tiers monde. La république et son école « au programme unique » produisent des individus crétinisés , elles suppriment l’identité nationale et la mémoire collective, imposent le brassage ethnique et culturel et surtout le niveau zéro de la culture. Qui en a décidé ainsi ? Pas les citoyens à coup sûr, car l’école leur sert de garderie. Les alibis pour imposer l’école ne s’adressent donc à personne, dès lors que les parents sont eux-mêmes lobotomisés et incapables de penser l’instruction et l’éducation sociale ailleurs que dans les murs de la caserne scolaire. Ils y croient, comme on croit à la messe. Et puis le gosse apprend bien deux ou trois choses au collège pendant que les parents sont au boulot ou qu’ils mettent en route le prochain pour augmenter les allocs. A défaut de lire Victor Hugo, l’enfant apprendra à lire le mode d’emploi d’une machine à laver et au sortir du collège, il parlera la langue des banlieues mieux que sa langue maternelle. Pour ce qui est de l’accession aux emplois, ce parcours ne lui offrira qu’un sas d’attente avant d’aller s’inscrire à l’ANPEM (agence pour l’emploi merdique), ce qui aujourd’hui est monnaie courante, car avec des diplômes dévalués, le travail reste hors de portée pour nombre de jeunes.
M. Portelli qui après avoir déclaré que la famille représente pour l’enfant une sécurité « affective et sociale », veut lui imposer la socialisation par le collectif, faisant ainsi de l’école une sorte de colonie de vacances version ghetto, une socialisation qui ne ressemble en rien à celle que les partisans de l’école républicaine font miroiter : car c’est une socialisation problématique qu’on impose aux enfants, comme c’est le cas dans certains cadres scolaires à risque, voire même dangereux où le groupe et la rue font loi. Le moindre des dommages subi par le jeune étant celui d’une crétinisation par le groupe d’élèves et un conformisme générationnel. Du coup, plus de lutte des classes: l’adolescent se sent membre de sa génération et non membre de la communauté familiale. Le clivage se fait. La seule solution sera de lui donner un vomitif quand il reviendra de l’école et lui faire dégueuler tout ce qu’il aura absorbé inconsciemment. Les juifs et les musulmans, deux communautés qui ont une identité familiale assez forte, les écoles coraniques et les écoles juives permettent de conserver le modèle familial. De plus, les musulmans ont le recours au foulard qui permet de se démarquer et même de se faire exclure. Les écoles catholiques, pour en avoir fait l’essai, s’inscrivent complètement dans le projet pédagogiste et suivent la même politique que l’EN. En clair ce sont les petits français de souche qui sont les plus vulnérables, car les plus exposés à cette « religion » laïque qui vise à faire de l’école un melting pot social et multiculturel. Privés de leurs références identitaires (Vercingétorix, Charles Martel, Jeanne d’Arc, Jean Moulin et j’en passe), ils seront la proie des pédago-manipulateurs, ils sortiront de l’école refait à neuf, prêt à voter et à tendre la main à l’autre, en ayant acquis un bagage linguistique riche, ce qu’on appelle le langage wesh- wesh (« nique ta mère, ta race, bouffon, j’te kiffe » et autres termes fleuris-(Merogis) pratiqués par les rappeurs.
M. le défenseur de la famille naturelle, qu’en est–il alors du respect du droit de l’enfant à se construire de façon équilibrée », quand l’intelligence elle-même peut-être méprisée dans la classe, étant considérée comme une tare par des jeunes qui haïssent l’école, qui refusent l’instruction et qui se gavent de culture télévisuelle, sans parler des rackets, de la drogue, des tournantes, des menaces physiques et de l’oppression cruelle que certains enfants vivent dans des groupes d’adolescents… Cette socialisation poubelle en fait des immatures déconnectés de la réalité, au point qu’en sortant de l’école, ils refusent le travail, étant habitués à l’état végétatif durant leurs heures de classe monotones.
Ainsi les familles qui vivent en zone rurale devraient scolariser leurs enfants dans des établissements de proximité, privées du droit de choisir le cadre scolaire et sa population, privées du droit de tenir compte des compatibilités éducatives entre le cadre familial et le milieu social des enfants qui fréquentent le collège de la bourgade (s’il y en a un). Privées enfin du droit de refuser un cadre scolaire inadapté à l’enfant – sauf pour raisons médicales : merci d’épargner les infirmes, les tuberculeux et les handicapés. Pour ces parents qui vivent éloignés des centres urbains et veulent donner à leur enfant un cadre scolaire choisi, ne leur reste alors comme seule échappatoire que d’exiler l’enfant vers un internat lointain ! C’est du pur stalinisme !
La secte LGBT va pouvoir « éduquer » nos enfants selon la théorie du genre !!!
(voir ce questionnaire sur le site de la Ligne Azur de Peillon) http://jcdurbant.wordpress.com/?archives-list=1
Quand on évoque la socialisation par l’école, on ne peut pas « éluder » les dérives actuelles graves du système éducatif et sa volonté de substituer à l’identité sexuelle des élèves, une identité de genre. C’est une question que M. Hugues Portelli ne peut pas ignorer non plus, puisqu’il milite contre le mariage pour tous et tout ce qui se trouve derrière cette volonté politique de mettre en cause la parentalité, d’ouvrir le droit à la PMA et la GPA. Pour ces questions que je ne maîtrise pas parfaitement, il me paraît préférable de donner la parole à une enseignante, Farida Belghoul, qui dénonce et explique toutes les perversion de l’idéologie du « GENRE » importée dans le système éducatif par des courants LGBT et par l’Europe. Ce qui me conduit à dire que la situation est grave, plus grave que jamais! Mme Farida Belghoul fait parfaitement le lien entre la laïcité radicale, le pédagogisme et la théorie du Genre. Elle démontre, étape par étape, que la « désécularisation » de l’école vise à couper celle-ci de l’influence de l’église, puis à couper l’enfant de l’influence des maîtres. Enfin toutes les théories scolaires sur l’autonomie de l’enfant et l’identité du genre sont portées par des courants animés d’une volonté de détruire la famille, de couper l’enfant de ses géniteurs, c’est à dire ses « parents naturels ». Je ne peux que rappeler à M. Portelli que seuls les parents naturels sont « en droit » d’occuper les rôles différenciés de pères et de mère, car toute autre définition de la parenté n’est qu’imposture, sauf quand il s’agit d’enfants adoptables par suite du décès des parents géniteurs. Auquel cas des parents substitutifs peuvent être légitimes, ce qui n’est pas sans poser certains problème. Prétendre que l’enfant doit être immergé dans la population d’enfants scolarisés pour la construction de son identité sociale est un argument de pur mensonge destiné à justifier l’impérialisme scolaire et sa volonté de porter atteinte aux liens familiaux. M. Portelli semble accepter de soutenir des thèses qui mettent en cause la cohérence de ses positions et la crédibilité de sa démarche.
On trouvera ci-dessous des vidéos de Patrice André et de Farida Belghoul qui mettent en garde contre le développement de cette idéologie du genre importée par l’Europe et portée par les lobbys gays, lesbiennes et autres NEGATIONNISTES de la différence des sexes, dans la sphère politique, avec le soutien du PS .
Le choix de l’éducation est un droit de la famille, Monsieur le fossoyeur de l’éducation familiale. Votre conception de la loi « naturelle » ne peut pas être compatible avec cette école qui vise à supprimer la famille biologique. Cette contradiction vous disqualifie.
Quant à l’instruction, elle ne semble guère être le souci d’un universitaire dont la scolarité n’a pas dû se faire dans les banlieues…. M. Portelli a dû certainement bénéficier d’une scolarité privilégiée à Constantine où il a passé son enfance et jusqu’à la fin de son brillant cursus d’études. Mais au fait, quels établissements a-t-il fréquenté ? Est-il passé par l’un de ces collèges de ZEP dont le niveau est très en deçà de celui des établissements performants des centres ville ? La vision laïque de sénateur n’est cependant pas aussi idéale qu’il y paraît:
Deux petits extraits d’articles pour donner à M. Portelli, quelques repères concernant la situation réelle de la socialisation scolaire. Je cite :
Représentations de la violence scolaire chez les élèves et les professeurs de lycées et collèges en milieu urbain sensible : une étude franco-algérienne
« Aujourd’hui, la violence scolaire est souvent évoquée et invoquée. Elle retient l’attention de la communauté éducative et elle constitue une préoccupation majeure pour les politiques. Tout d’abord, parce qu’elle revêt divers aspects, quantitatifs et qualitatifs. Ensuite, parce qu’il existe une forte demande sociale et institutionnelle envers la cessation de cette violence sous toutes ses formes.
En France et en Algérie, cette violence scolaire n’est pas un phénomène nouveau et elle occupe actuellement une place de plus en plus conséquente dans la vie sociale de toutes les classes, ainsi que le reflètent les discours officiels des responsables politiques et la couverture accrue des médias dans les deux pays.
Plusieurs faits divers sont à l’origine de cette inquiétude : crimes commis à l’encontre des élèves à l’intérieur et en dehors de l’institution scolaire ; apparition d’autres fléaux à l’école tels que le tabagisme, la drogue, l’alcoolisme, le happyslapping ; augmentation du nombre d’actes de violence (quoique les statistiques en la matière restent limitées en Algérie). Ces événements sont-ils annonciateurs d’une montée en puissance des violences en milieu scolaire ? Et au-delà de ces faits, quelle est la réalité de cette violence ?
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Autre article :
Violence à l’école
« Les phénomènes de violence à l’école et la progression constante des comportements violents de certains ados est devenu ces dernières années un véritable problème de société. Sociologiques, culturelles et psychologiques, les causes de la violence de ces ados sont multiples.
Rackets, vols, agression, trafic en tout genre… la liste est longue des agissements qui riment avec violence. Pourquoi ? C’est évidemment la question que parents, professionnels de l’éducation et de l’enfance se posent pour parvenir à répondre à la question qui intéresse tout le monde : comment enrayer durablement ce phénomène préoccupant ? «
Né à Constantine, Hugues Portelli a le cœur de l’autre côté de la méditerranée et sa conception de l’école – dite laïque – est bien celle du PS. Sur le terrain politique, il pourrait bien avoir quelques racines dans la pensée marxiste. Cependant, on ne présente pas un tel projet de loi sans s’être assuré du soutient du parti, en l’occurrence l’UMP! Donc c’est bien une offensive de la droite UMP qui s’annonce.